Cette histoire alimente actuellement les discussions sur les réseaux sociaux, où les internautes ne tarissent pas d’éloges sur une femme que beaucoup considèrent comme particulièrement rusée. Pour certains, son geste pourrait être une leçon de fidélité pour son époux.
Dans une publication devenue virale, la coach Tata Myrah écrit sur Facebook : « Drame. Après avoir passé 8 mois chez sa maîtresse, il découvre que sa femme a vendu la maison familiale pour partir en France. »
Ce récit a déclenché une avalanche de réactions. Voici quelques-uns des commentaires :
« Bravo à cette femme ! Si tu suis cette page, fais-moi signe, je te soutiens même si tu es en France. »
« Ce n’est pas un drame, c’est mérité. Un homme responsable ne se permettrait jamais un tel comportement. En cherchant mieux ailleurs, te voilà sans toit. »
« C’est typique : abandonner sa famille pour une aventure. Bien fait pour toi, tu n’as plus qu’à pleurer. »
« Attention cependant, juridiquement parlant, elle n’avait pas le droit de vendre la maison tant que son mari est en vie. L’acheteur pourrait bien perdre son argent, car le bien pourrait être récupéré. »
Cette affaire, au-delà de ses détails, illustre les tensions et désaccords autour des relations conjugales et de la gestion des biens familiaux. Elle continue de diviser l’opinion, entre ceux qui soutiennent la femme pour son audace et ceux qui interrogent la légitimité de son acte sur le plan juridique et moral.
Si devrons nous engager un débat dans unl’angle procédures en justice, tout dépendra du régime de cette union.
Si c’est sous un régime de bien communs la dame aura tort.
Si c’est sous le régime de bien séparé et que la maison était la propriété de la dame , elle a tout le droit de la disposer comme elle entend faire.
Salut