Coup dur pour JEUKWA MOBILE, une jeune entreprise prometteuse spécialisée dans la fabrication de téléphones portables à Douala. Alors que l’entreprise semblait sur une trajectoire ascendante, un scandale éclate : la directrice, Memeyi Djounguep, aurait vidé les comptes bancaires de la structure avant de disparaître avec la somme colossale de 3.500.000 FCFA.
L’annonce de ce détournement a plongé l’entreprise dans une crise sans précédent. Les activités sont désormais au point mort, laissant les employés et les partenaires dans l’incertitude totale. Selon des sources internes, ce montant représentait une part significative des fonds destinés à des investissements stratégiques pour étendre la production et renforcer la présence de la marque sur le marché.
Depuis cet acte, la directrice reste introuvable, et les autorités locales ont été alertées pour lancer une enquête. Cette situation met en lumière les défis que rencontrent certaines entreprises émergentes face à des actes de malversations internes.
La communauté entrepreneuriale de Douala, choquée par cette affaire, s’interroge : comment un tel détournement a-t-il pu se produire ? Les leçons à tirer de ce scandale serviront-elles d’alerte pour renforcer les mécanismes de contrôle dans les entreprises locales ?
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