Cameroun : une liste d’homosexuels présumés publiée, de grands noms cités

Le showbiz camerounais serait, selon certaines accusations, marqué par une présence importante de personnes homosexuelles. C’est ce qu’a affirmé Jorel Jacques Zang dans une déclaration fracassante. D’après lui, bon nombre d’entre elles n’ont jamais assumé publiquement leur orientation, mais il prétend avoir identifié leur inclinaison à travers leurs comportements.

« Dans le showbiz camerounais, beaucoup d’hommes paraissent comme des femmes et beaucoup de femmes comme des hommes », a-t-il lancé.

Pour les observateurs avertis, Zang souligne un détail intrigant : certaines influenceuses entretiendraient des relations ambiguës avec des individus qu’il qualifie de « doubles Sim ». Ces derniers joueraient plusieurs rôles à la fois : satisfaire les désirs inavouables de leurs partenaires masculins tout en leur ouvrant des portes vers des individus fortunés qui, eux aussi, seraient leurs clients.

« Tout le monde couche avec tout le monde dans ce milieu », ajoute-t-il, décrivant un univers où les partouzes seraient monnaie courante. En surface, le glamour et les paillettes fascinent, mais, selon lui, la réalité interne dévoile un monde rempli de « saleté » et de conditions qu’il qualifie d’inhumaines.

Face à cela, Zang invite les Camerounais à ne pas envier ce mode de vie souvent idéalisé sur les réseaux sociaux. « Beaucoup, dans votre simplicité et votre dignité, vivez mieux que ces personnes que vous admirez à tort. »

Bien que Zang n’ait mentionné aucun nom, une autre source, restée anonyme, a pris le relais et dressé une liste de personnalités connues qui seraient impliquées. Parmi les noms cités figurent Brenda Biya (la fille du président), Tik Dengue, Robinson Piffo, Claudia Njalla, Shakiro, Aveiro Djess, Happy d’Efoulan, Maa Jacki, Dylan Comédie, Tchop Tchop, Dexter Timberlake, Steve Fah, et bien d’autres.

Toujours selon cette source, ces pratiques s’étendraient au-delà du showbiz, touchant également des figures influentes du pouvoir et d’autres secteurs. Ces accusations, non vérifiées, continuent de susciter des débats houleux et divisent l’opinion publique au Cameroun.