L’affaire Diddy continue de prendre des proportions inattendues. Alors que le procès le plus attendu de l’année approche à grands pas, une nouvelle révélation vient chambouler la situation. Cette fois, ce n’est pas Diddy qui est visé, mais l’avocat de l’accusation, Tony Buzbee. Celui qui défend les 120 victimes présumées du rappeur se retrouve lui-même au centre d’une plainte déposée par une ancienne cliente.
Selon des documents obtenus par TMZ, une femme qui avait engagé Tony Buzbee pour la représenter dans une affaire de divorce l’accuse désormais d’agression. Les faits remonteraient à plusieurs années, alors qu’elle était encore sa cliente. Une source proche de la plaignante affirme que l’incident impliquait une flûte de champagne : dans un « accès de rage », Buzbee aurait, selon elle, utilisé le verre pour la frapper au visage, endommageant l’une de ses dents. La femme, qui a choisi de rester anonyme, affirme disposer de dossiers médicaux pour étayer ses accusations.
Mais ce n’est pas tout : elle accuse également l’avocat de faute professionnelle dans son dossier de divorce, une erreur qui, selon elle, lui aurait coûté plusieurs millions de dollars. Son avocat, Jeremy Bohrer, n’a pas mâché ses mots : « Tony Buzbee n’est pas le justicier qu’il prétend être. C’est un hypocrite. Il n’y a rien de pire qu’un bonnet noir déguisé en bonnet blanc. »
De son côté, Tony Buzbee nie fermement les accusations portées contre lui. « Tout cela est une fiction totalement folle, ridicule et infondée », a-t-il déclaré. L’avocat, qui représente plus de 120 victimes présumées dans l’affaire Diddy, promet de ne pas laisser ces allégations entacher sa réputation. « Je ne tolérerai pas la diffamation », a-t-il ajouté.
Dans ce dossier déjà explosif, il semble que personne ne soit à l’abri des remous et des accusations. Le feuilleton judiciaire s’intensifie, laissant le public et les observateurs dans l’attente de nouvelles révélations.
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