Achraf Hakimi revient sur son divorce

“J’ai été marié à mon ex-femme, Hiba Abouk, de 2020 à 2023, mais j’ai réalisé qu’elle voulait mon argent deux mois seulement après le début de notre mariage, puis j’ ai tout transféré à ma mère et attendais patiemment qu’elle demande le divorce. Je ne pourrai plus jamais faire confiance à une femme, sauf à ma mère. Ma mère et moi avons dansé ensemble après mon divorce”. ~ ACHRAF HAKIMI

“J’ai enregistré tous mes biens au nom de ma mère dès que j’ai commencé à soupçonner ma femme, Hiba Abouk. Notre mariage a duré environ un an avant notre divorce et nous avons eu une petite dispute un matin et elle m’a dit que je devais savoir qu’elle pouvait demander le divorce à tout moment et que si elle le faisait, nous allions partager ma fortune à parts égales. En entendant cela, j’ai réalisé que je vivais avec une chercheuse d’or. J’ai alors commencé à réfléchir à ce qu’il fallait faire et, tout d’un coup, l’idée d’enregistrer mes biens dans un trust au nom de ma mère m’est venue à l’esprit.

Je suis donc allé voir ma mère et lui ai tout expliqué : “Mon fils, je t’ai porté dans mon ventre pendant neuf mois et je ne laisserai jamais rien t’arriver. Nous avons travaillé dur pour que tu sois là où tu es aujourd’hui et aucune femme ne sortira de nulle part pour te faire tomber”. Ensuite, nous lui avons immédiatement transféré tout ce que je possédais, à tel point que même mes vêtements et le maillot que j’utilisais pour jouer au football lui appartenaient.

Aussi, lorsque ma femme a demandé le divorce et exigé la moitié de ma fortune, je n’ai pas été inquiété. Elle m’a même dit que j’allais être ruiné après notre divorce, mais j’ai ri au fond de moi. Et comme nous le disons toujours, l’échec de la planification est la planification de l’échec, elle a échoué à planifier et j’ai réussi à planifier. Elle a été choquée de constater que je n’avais rien et que c’était ma mère qui s’occupait de nous. Elle a pleuré au tribunal, non pas parce que nous divorcions, mais parce qu’elle est partie les mains vides, comme elle était venue”.